El Teide - Tenerife La Reina Negra 
Aquí su espacio para la promoción
de su empresa
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L’ANNÉE 1988: PARIS

J’ai travaillé pendant la nuit comme serveur près du “Centre Pompidou”. Je vivais avec 2 étudiants de la Sorbonne dans une maison de 90 m2, située dans la Rue de la Ferronerie. Durant la journée, j’étudiais le marketing et je suis arrivé à la conclusión que ce serait mieux pour moi de m’établir dans une société déjà existante dans une bonne localité. Après avoir connu une société de reportages de mariage qui avait pour nom “Studio de Paris”, ils m’ont imprimé des prospectus avec leur publicité dessus. Le propriétaire avait des doutes sur notre collaboration au début. Ce n’est pas tous les jours qu’il rencontrait une tête de fromage (moi) dans son commerce, qui avait l’intention de collaborer avec lui. Les frais étaient à ma charge mais la distribution de la publicité était à son compte. On a imprimé les prospectus de l’existence des 50 ans de la REINA NEGRA (voir photo prospectus).

Una boda con niños en Paris, 1988
Un mariage avec enfants à Paris, 1988

Paris

Sr. Caillot, fotografo Studio de Paris
Monsieur Caillot, photographe “Studio de Paris”



Una boda en el campo Una boda en Sucy en Brie
Un mariage à la campagne Un mariage à Sucy en Brie
Corstiaan en camino con turistas en la reina negra
Corstiaan en route avec des touristes dans la Reina Negra


Corstiaan con los turistas americanos
Corstiaan avec des touristes américains Rue de la Ferronerie près du Centre Pompidou

Après plusieurs semaines, les clients ont commence à arriver. Monsieur Caillot se chargeait des réservations et était assez satisfait. Mais moi, soudain, j’ai connu les touristes japonais et américains. Je garais la REINA NEGRA sur les Champs Elysées ou dans la Rue de la Ferronerie, près du Centre Pompidou. Sur le devant de la voiture, il était inscrit “Découvez la ville de façon classique – Appelez au …” Le commerce fonctionnait très bien et finalement, les voyages pour les mariages étaient moins lucratifs. La police inspecta mon cas mais ils n’avaient pas de plainte en ce qui concerne mon permis. J’ai même reçu un jour une carte de félicitations de Monsieur Jacques Chirac, maire de la ville à l’époque. Les gens montraient de l’intérêt pour la REINA et son moteur. Et moi, très orgeilleux, je leur montrai. Une fois, la police m’a collé une amende pour m’être mal garé. Sur le PV, ils ont mis: Renault (…) Mais je ne l’ai pas payé parce que j’avais mis une plaque d’immatriculation hollandaise collée sur celle grise/noire française. Ainsi personne ne se rendit compte que je faisais du commerce avec une voiture hollandaise!


La REINA NEGRA travaillait aussi comme taxi à l’áeroport Charles de Gaulle. Quand je n’avais pas assez de rentrées d’argent ou si j’avais des frais inattendus, je me concentrais sur l’aéroport de Paris. Les trajets jusqu’à l’aéroport n’étaient pas sans risque. Un jour, je me suis garé dans la zone réservée aux taxis. Ils m’ont regardé avec une sale tête mais personne ne me demanda ni mes permis ni mes autorisations. La porte s’ouvrit et apparut un avocat anglais qui était très pressé. Il n’a pas eu besoin de me le dire deux fois… dans la seconde, j’étais à 80 kms/heure, juste au moment oú le client se rendit compte que je n’avais pas de taximètre. “Qu’est ce qui se passe? Attend? Combien ça va me coûter?. L’homme paraissait inquiet. Je répondis: “Ne vous inquietez pas. Le taximètre vient de tomber à l’instant même. Vous arriverez à bon port. L’entreprise a cette voiture depuis 30 ans (…)” …L’avocat arriva à bon port et j’encaissais toujours le prix juste. Après quelques trajets jusqu’à l’aéroport, j’arrêtais car ça commençait à être trop risqué. Je n’avais pas vraiment envie d’avoir des problèmes avec les chauffeurs de taxi.

Durant l’année 1988, je reçus plusieurs visites de ma famille et amis. Ils se sont tous bien plus. Surtout une promenade avec la REINA NEGRA le matin tôt était une expérience unique. Avec une amie de la discothèque (Whisky à Gogo) nous avons parcouru les Champs Elysées. J’ai aussi mangé un croissant avec ma chère maman tôt le matin sur cette avenue tant fameuse. J’ai aussi reçu la visite de Madame Van Buuren avec ses petits fils de Gouda en Hollande. Je montrais avec orgueil Paris à mes amis, en terminant par le point culminant de la visite le “Sacré Coeur”

La Señora van Buuren con sus nietos en Paris
Madame Van Buuren avec ses petits fils à Paris

Corstiaan en los Campos Elisios
Corstiaan sur les Champs Elysées


En face du “Sacré Coeur” avec mes amis
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